Aux pisseux, aux terriens
- niko
- 15 janv. 2002
- 1 min de lecture
Aussi peu, autant rien On ne voit même pas les siens Il faudrait un jour savoir Se connaître et puis vivre !
Aussi peu, autant rien Pour toi, je ne suis pas Celui qui pourrait peut-être T’emmener là, très loin.
Aussi peu, autant rien Je peux te faire naître Mais regarde bien Qui tu es et pourquoi, pour combien ?
Aussi peu, autant rien La solitude est ta force Mais elle s’épuise si vite Que tu resteras seul.
Aussi peu, autant rien Tu cherches sagement ton chemin Mais celui qui te convient Ne sera pas le même demain.
Aussi peu, autant rien J’aime la douleur Source de tout bonheur On doit lui tendre main.
Aussi peu, autant rien Combat de demain Espoir d’aujourd’hui Prends le train de ta vie.





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